BALI : Carnet de voyage #SkinProtectOceanRespect avec Avène

12 avril 2018

À la fin du mois de mars, vous le savez, j’ai eu la chance et l’honneur de m’envoler pour Bali ! Un séjour extraordinaire à la découverte des engagements éco-responsables de la marque Eau Thermale Avène que j’avais hâte de vous raconter !

Ça faisait longtemps (depuis mon road trip en Ontario) que je ne vous avais pas concocté un article « Voyage » (j’ai toujours Lanzarote en préparation d’ailleurs, le tri des trop nombreuses photos est interminable !).

Et j’avais vraiment envie de raconter ce voyage en Indonésie avec Avène pendant que mes souvenirs sont encore frais !

Il faut savoir que je suis fidèle à la marque Avène depuis toujours, ayant une peau très très sensible sujette aux imperfections sur le visage et à l’eczéma sur les bras et les mains. Pour autant, j’ignorais beaucoup avant cette belle invitation de l’ampleur et de la portée des engagements de la marque envers notre environnement, dont l’un des prolongements se trouve à Bali.

Partie de l’aéroport de Francfort (le coeur brisé de laisser mon fils, je déteste tellement les au-revoirs ! Et ce n’était que la 3ème fois depuis que je suis maman que je partais « loin » (hors d’Europe), la première fois que je partais si longtemps !), et après un long vol calme où j’en récupéré quelques heures de sommeil en retard sur mon fauteuil couchette, j’ai retrouvé à Singapour une chouette équipe de blogueurs, journalistes et photographes,  ainsi que les géniales Aurélie et Anne-Sophie du Groupe Pierre Fabre, pour la deuxième partie du trajet, le vol vers Denpasar.

Puis, après 5 heures de route à travers l’île, nous sommes arrivés, décalqués mais heureux, à notre premier point de chute, le Menjangan Dynasty Resort. Après un dîner pour faire connaissance avec tout le monde et une bonne nuit de sommeil pour recharger les batteries, nous avons découvert à la lumière du jour nos jolies tentes de luxe, posées au bord d’une belle plage de sable blanc, avec vue sur l’île de Menjangan où les activités des deux premières journées étaient prévues.

JOUR 2 et JOUR 3 : 

Les deux premiers jours ont été consacrés à la découverte d’une des actions éco-responsables de la marque Eau thermale Avène s’attachant aux espaces marins, une action concrète qui est le prolongement logique de leur programme Skin Protect Ocean Respect et de la formulation brevetée de leurs produits solaires respectueux des écosystèmes marins. Mais je vais revenir sur tout ça en détails !

Le premier jour, nous avons fait du snorkeling autour de l’île de Menjangan (l’île aux Cerfs), bien sûr enduites de crème solaire Avène. Nous y avons constaté que les coraux étaient en piteux état. C’était super joli quand même, avec ces étoiles de mer bleu électrique, et quelques jolis poissons.




Le lendemain, nous avons découvert plus en profondeur les raisons de notre présence à Bali.

C’est donc là, au nord-Ouest de Bali, que la marque Eau Thermale Avène s’est engagée à intervenir pour préserver un corail à l’agonie, à cause des montées en température, de la pêche au cyanure ou à la dynamite, et du phénomène climatique El Niño.

On entend beaucoup parler de déforestation, mais en comparaison, très très peu de la disparition des coraux, qui est pourtant un enjeu tout aussi critique pour l’avenir de la planète. On estime qu’en 30 ans, 30% des massifs coralliens ont disparu.

C’est face à ce constat qu’Eau Thermale Avène a reformulé ses produits solaires (je vous en parle plus bas) et s’est engagée dans une action de mécénat avec PUR Projet et Tristan Lecomte, que nous avons eu la chance de rencontrer.

La marque finance le projet PEJARAKAN, porté par PUR Corail et l’équipe communautaire locale POKMASTA.

Ce projet de replantation de coraux s’appuie sur la construction d’un récif artificiel afin de régénérer les écosystèmes locaux. L’équipe Pokmasta chapeautée par Sendeng, Danu et Sutha, construit des structures métalliques qu’elle dépose ensuite entre trois et sept mètres de profondeur, après y avoir accroché des fragments de coraux (ramassés au préalable après s’être détachés tous seuls, aucun corail n’est prélevé directement).

Le bilan des actions de PUR Corail est très encourageant. 1855 coraux ont été implantés sur le récif artificiel et ces structures métalliques, et ça marche très bien : 97% survivent et se développent. Dès l’installation de la première structure, la faune marine est revenue. Toutes les semaines, l’équipe plonge pour vérifier que les coraux se développent et suivre les impacts de ce récif artificiel.

Cette journée était vraiment intéressante. Tristan Lecomte, Emilia d’Avack et Danu nous ont tout expliqué de leurs actions ici, avec l’engagement passionné qui les caractérise, et nous sommes allés voir de notre propres yeux le récif artificiel, avec nos palmes et nos masques et tubas. La visibilité n’était pas très bonne depuis la surface à cause des courants, mais quand on faisait un peu d’apnée pour s’approcher au plus près, c’était assez fou de voir ces coraux replantés redonner de la vie et des couleurs à l’eau bleue, tous ces jolis poissons nager entre les armatures métalliques qui seront bientôt invisibles puisque recouvertes de coraux !













Et l’action d’Eau Thermale Avène pour l’océan et l’environnement plus généralement n’est pas nouvelle et ne se limite pas au financement de cette belle initiative locale.

Dès  2016, la marque a lancé le plan SKIN PROTECT OCEAN RESPECT avec la volonté de proposer des produits solaires directement engagés.

Car tout a commencé avec la prise de conscience que les produits solaires, avec lesquels on se baigne, auraient, une fois dilués dans l’eau, des effets néfastes sur les écosystèmes marins, en se déposant ou en étant ingérés par des organismes comme les algues, les phytoplanctons, et bien sûr les coraux.

L’objectif initial de la marque était donc simple : proposer une très haute protection solaire tout en minimisant l’impact des produits sur l’environnement marin.

Inutile de vous rappeler à quel point le soleil est mauvais pour la peau, mais saviez-vous qu’aujourd’hui, un cancer diagnostiqué sur 3 est un cancer cutané ?

Il était donc impératif pour Avène de trouver la bonne formule pour assurer une protection solaire optimale tout en améliorant au maximum la biodégradabilité du produit.

En quelques mots, il y a trois types de filtres solaires, les filtres hydrosolubles, les filtres liposolubles et les filtres minéraux. C’est la première catégorie, les hydrosolubles, qui comme leur nom l’indique, se dissolvent dans l’eau et sont donc facilement assimilables par les organismes marins, qu’Avène a décidé de proscrire, au même titre que les silicones, pas biodégradables. Le résultat de leurs recherches, c’est un système filtrant breveté assurant une très large protection contre les UVA-UVB, avec seulement 4 filtres solaires (la plupart des produits solaires en contiennent entre 5 et 9), un antioxydant puissant, et l’eau thermale d’Avène aux propriétés apaisantes remarquables, une formule qui réduit l’impact du produit sur notre environnement, tout en protégeant efficacement la peau du soleil.

L’engagement de la marque à Bali est par la suite apparu comme une évidence pour aller plus loin dans la sauvegarde de la biodiversité marine.

Par ailleurs, et pour tous ses produits, la marque Eau Thermale Avène oeuvre pour réduire son empreinte : programme volontaire d’économie d’énergie (par exemple, 100% de la consommation électrique provient de sources renouvelables sans émission directe de dioxyde de carbone), valorisation des déchets, développement de conditionnements responsables (11 tonnes de plastique économisées par an suite au regrammage des flacons des Soins Essentiels).

À consulter pour en savoir plus :


JOURS 4 , 5 et 6 :

Après ces deux journées passionnantes, nous sommes partis, en jeep, vers notre deuxième point de chute, à Ubud, dans le grandiose Mandapa – a Ritz-Carlton Reserve, pour la partie la plus touristique de notre séjour, où nous avons beaucoup bougé pour découvrir temples et rizières, la Monkey Forest (j’y suis allée deux fois car la première fois, je n’avais plus de batterie sur mon appareil et j’étais trop frustrée de ne pas avoir pu tirer le portrait des singes pas farouches qui la peuplent la première fois) et apercevoir un peu la richesse et la beauté de l’île et de la culture balinaise. Deux journées et demi intensives et merveilleuses avant de d’enchainer sur le vol retour.
















LE BALIBLUES

Et puis nous sommes rentrés, j’ai retrouvé mon mari et mon fils à Madrid pour un week-end de Pâques entre amis suivis de deux jours rien que tous les 3 et ce n’est que la semaine dernière, quand je suis finalement rentrée chez moi et que j’ai déchargé ces photos sur mon ordinateur pour les trier pour cet article que le Baliblues m’a heurtée de plein fouet.

Cette île est tellement jolie, colorée, le bleu turquoise de l’océan, le vert luxuriant de la végétation et des rizières, les levers et couchers de soleil flamboyants ou violacés, les offrandes colorées partout, la sérénité qui y règne. Le paradis, vraiment.

Et c’est toujours super dense et court les voyages presse (tant mieux peut-être parce que ce n’est jamais facile de partir trop longtemps, à titre perso comme d’un point de vue professionnel !), on vit des expériences merveilleuses, avec l’envie de ramener un maximum d’images et d’informations pour vous, mais on a toujours cette sensation d’inachevé, l’impression d’avoir pas tout vu, pas tout immortalisé, pas profité de tout.  La team sur place était si bien composée : que des gens drôles, gentils, percutants, on a bien rigolé. Du coup, au retour, on se retrouve un peu seul avec ses souvenirs, c’est pas comme après des vacances en famille où tu peux te remémorer les bons moments avec tes proches qui les ont vécus aussi.

Du coup, depuis mon retour, j’ai le BALIBLUES, avec Zoé on s’envoie des petits messages, des photos, en espérant repartir bientôt !

C’est vrai ça, il faudrait retourner voir bientôt comment vont les coraux qu’on a planté de nos petites mains !

Le but de notre voyage et la découverte de ce projet éco-responsable et des produits solaires engagés était géniale et je suis très fière et honorée de faire partie des porte-paroles choisis par la marque Avène pour vous les faire découvrir à votre tour.

Je vous laisse avec le reste de mes photos, qui vous transmettront, je l’espère, un peu de l’ambiance de ce magique voyage haut en couleurs !

(et pour celles qui aiment les photos de voyage, je vous donne rendez-vous la semaine prochaine pour mon article consacré (enfin !) à mes jolies vacances à Lanzarote !)

=> infos sur le matériel photo utilisé et carnet d’adresses en bas de mon article !

















































































LES BONNES ADRESSES DU VOYAGE

  • Hotel The Menjangan, pour de la plage, de la plongée, du snorkeling, en essayant l’expérience du « glamping », le « camping glamour » dans des tentes de luxes magnifiques et confortables avec terrasse privative et merveilleuse vue. Il jouxte la communauté Pokmasta et le spa a une vue sur la baie qui abrite le récif artificiel financé par Avène !

  • Hotel Mandapa – a Ritz Carlton Reserve : niché dans des rizières, un établissement exceptionnel d’un raffinement extraordinaire. Nos suites étaient grandioses, le petit déjeuner incroyable, le lieu complètement fou et sorti tout droit d’un rêve !

  • Restaurant Sayan House, Ubud : un lieu branché et une cuisine « japanese-latin fusion » délicieuse !

  • Restaurant Mozaic, Ubud : un restaurant gastronomique né de l’inventivité du chef franco-américain Chris Slaans qui a décidé de faire se rencontrer, pour le plaisir de nos papilles gustatives, les saveurs et les ingrédients balinais et la tradition culinaire française ! Le résultat est un ravissement, nous nous sommes tous régalés avec un menu dégustation composé de 7 services !

  • Temple de Tampa Siring

  • Teggallalang pour admirer les rizières en terrasse

  • Monkey Forest d’Ubud

  • Si vous cherchez un guide francophone passionnant et adorable, contactez BUDI (son Facebook) !

MATERIEL PHOTO :

Toutes les photos de ce voyage ont été prises avec un OMD EM1 mark II OLYMPUS + 12-40mm 2.8 Pro ou 25mm 1.8 (que je testais pour la première fois !), à l’exception des photos sous l’eau qui ont été prises avec un compact tout terrain (et étanche), le OLYMPUS TOUGH TG5, qui est vraiment parfait pour cet usage et vous ramener de belles images de coraux !

DISCLAIMER : Article réalisé dans le cadre d’une collaboration rémunérée avec EAU THERMALE AVÈNE.

Un GRAND MERCI à Anne-Sophie, Aurélie et Sandra pour cette expérience merveilleuse et leur confiance 

Crédit Photo Pauline PRIVEZ – photos non libres de droit – ne pas utiliser sans mon autorisation.

16 commentaires sur “BALI : Carnet de voyage #SkinProtectOceanRespect avec Avène”

  1. Quelle belle surprise d’apprendre l’engagement d’Avene auprès de l’environnnement! Article très intéressant et comme d’habitude de superbes photos!

  2. Bonjour Pauline,
    En 2014, je suis partie au Mexique et certaines plages/cenote ne sont accessibles que si on utilise une crème solaire biodégradable. Grosse prise de conscience alors pour moi ! J’ai réalisé à mon retour qu’il n’y avait pas beaucoup de choix sur le marché français : donc superbe initiative d’Avène, et merci pour ce relais !

  3. Bon…. Ce post laisse rêveuse et tu fais une sublime promotion de BALI, merci aussi à AVENE, va falloir y penser en espérant que les beaux jours se précisent car la météo même dans le sud n’est pas au beau fixe.
    Comme d’hab.. Tu nous combles et j’ajouterai qu’elle chance tu as.
    Merci pour ce beau reportage et les adresses 😉
    Chrys

  4. Super jolie la robe rouge mi-longue que tu portes sur la photo de la plage avec le panier Sézane. D’où vient-elle?

    Merci d’avance pour ta réponse, et hâte de voir d’autres belles photos de tes voyages!

    Agathe

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