Bonjour Pauline,
C’est mon 1er commentaire en 8ans de suivi de ton blog mais la je devais te dire merci pour cet article ou je me retrouve plus que d’habitude car oui comme toi je suis expatriee depuis 10ans (NY, Londres et Singapour) vie de couple et puis construire sa famille a l’etranger avec des points de vue culturels si differents que oui ca peut chambouler une nouvelle maman, aussi une chose que tu n’abordes pas mais que tu dois ressentir apres plusieurs annees d’expatriation c’est souvent le decalage de notre vie un peu folle par rapport a nos amis restes en France qui n’ont pas autant bouge et qui ne comprennent pas tout ce que l’on peut vivre (pas de routine, challenge pro/perso a chaque nouveau pays, l’education des enfants dans un pays qui a des references differentes) c’est aussi une belle facon de renforcer son couple car moi a 10000km je n’ai que mon mari et ma fille pas de famille proche ou on rentre sur un coup de cafard/tete…bref il y a tellement de choses a dire sur la vie d’expat mais avec internet tout est quand meme plus facile qu’il y a 20/30ans!
Belle continuation
Et puis faut pas non plus sortir la phrase de son contexte, je grossis le trait car je parle d’expatriation et de choc culturel, toutes les allemandes ne font pas ce choix, de même qu’en France, tout le monde ne choisit pas de continuer à travailler.
Je viens de commencer mon premier vrai taff, pour lequel je vais avoir l’occasion aller à NY (pour la première fois). Je ne manquerais pas de refaire un tour sur tes articles New yorkais 😉
Il est chou cet article, ça donne envie de partir ! Moi je suis curieuse alors j’aime bien en savoir plus sur toi, du coup si c’est dans les limites que tu t’accordes, j’aime beaucoup ce genre d’articles !
Salut Pauline !
Merci beaucoup pour ton article 😉
Je fais partie de tes lectrices de loin ! D’un petit village en Guinée plus exactement 😉 Et aujourd’hui depuis Dakar 😉
Je ne te laisse quasiment jamais de commentaires mais je suis hyper contente que tu partages cette expérience que l’expatriation. Continue s’il te plaît !
Je suis expatrié depuis un an et je voyage beaucoup en Afrique même si l’expérience est très différente (avec mon conjoint on vit dans une petite petite ville sans eau courante ni électricité), je reconnais ce que tu décris sur la langue notamment. Dernièrement en mission au Burkina Faso, j’ai trouvé que c’était beaucoup moins dépaysant (tout est relatif) car tout le monde parle français, ce qui est loin d’être le cas en Guinée même à la capitale. En Thaïlande, avec personne qui parlait français je me sentais vraiment extraterrestre.
Ça serait chouette aussi que tu nous parles du passage de ta vie professionnelle salarié à ta vie de freelance ! Et aussi du fait de suivre son conjoint ! Pour l’avoir vécu c’est pas toujours évident à vivre même si c’est complètement un choisi librement ?!
Voilà donc un très long commentaire pour te dire un grand merci, j’adore quand tu racontes un bout de ta vie !
Bonne journée !
Effectivement, tu me lis de loin ! Quelle chance ! Ce doit être une si belle expérience !
Je note pour les sujets que tu évoques, le passage salarié / freelance et le fait de suivre son conjoint.
Et merci à toi, j’adore quand c’est vous qui me racontez un petit bout de vos vies !
C’est chouette de savoir qui passe par ici, ça vous rend plus vraies 😉
Bonne journée à toi !
Mais bien sûr qu’on veut en savoir plus sur ta vie ahah ! Non pas qu’on est curieuses (quoique ;)) mais ces articles sont vraiment sympas à lire et moi il me donnent encore plus envie de revenir apprécier les looks quotidiens.
C’est sûr que tu n’es surement pas là pour nous faire des articles administratifs mais vivre à New-York est aussi mon rêve n*1 sur ma bucket list et pareil, j’arrête pas de faire rire mon chéri avec ça : « et sinon, on pourrait partir à New-York » ! Mais à chaque fois que je me renseigne un petit peu, j’ai l’impression que c’est mission impossible d’obtenir un visa, un travail et un appart là -bas.. Ta situation est sûrement différente si Romain avait une bourse organisée mais comment toi tu as pu le suivre ?
Bref, gros +1 pour que tu continues ces articles personnels.. Face à toutes les blogueuses qui manient les storys au quotidien mais qui toi n’ont pas l’air de te plaire, c’est sûrement ça le bon compromis : utiliser ton écriture si plaisante à lire pour qu’on te connaisse un peu mieux.
Bonne soirée !!
Je suis d’accord avec Margot, à l’heure d’instagram (où je ne te suis pas) ce genre de poste est un bon compromis, pour celles qui aiment lire !
Salut Pauline !
Pour ma part j’apprecie réellement ce genre de post car je m’y retrouve vraiment ! Je me suis expatriée seule pendant 7 mois aux Etats-Unis et plus particulièrement en Californie pour notamment l’anglais et prendre un break d’une petite année dans mes études. J’imagine très bien qu’il est bien plus simple quand on est en couple de s’expatrier ! Et pour moi le retour en France à été très dure donc je comprend ton ressentie car la vie « Américaine » est vraiment différente de notre vie en France ! Comme tu l’as si bien dit le fait d’avoir une deadline nous pousse à faire plus qu’on ne ferait dans notre propre pays, j’ai bien plus voyagée pendant ses 7 mois qu’en 3 ou 4 ans en France ! Maintenant plus qu’a attendre deux ans et la fin du master (enfin !) pour y retourner !!
Merci pour ce post !!!
Bisous !
Bonjour Pauline,
Je laisse rarement des commentaires, j’adore lire lire tes articles.
C’est comme rituel tous les soirs, je regarde si tu n’as pas déposé un article.
J’ai adoré lire celui ci, il me fait rêver.
J’aurais aimé faire c’est deux années à newyork et très souvent je me fais la remarque.
J’ai visité cette ville plus de trois fois en quatre ans mais elle m’attire tellement, c’est indescriptible et difficilement compréhensible d’en connaître la raison.
Je te remercie d’avoir partagé une partie de ta vie qui nous rend plus proche de toi.
A très vite
Bonne soirée
Ps: je vais certainement craquer pour l’affiche NY!
Bonsoir, moi j’habite dans la campagne de Douai et je travaille dans cette ville, le Nord qui t’es si cher.
Jusqu’a présent je n’ai pas beaucoup voyagé, la Belgique si proche et une semaine à Barcelone.
Mais je reconnais le courage que vous avez eu de tout plaquer et de partir à New York, tout à construire, comme une page blanche, et ensuite dans les autres villes.
Moi j’aimerais savoir sur tes divers pays comment tu cuisines, tu t’adaptes aux produits locaux ou tu arrives toujours à trouver des produits ” français “.
Merci pour cet article ou tu te livres quelque peu à nous.
Bises.
Quel magnifique article! Merci de partager ton expérience!
Je te raconte la mienne: je suis originaire du Honduras et ma première expérience d’expat a été à Bordeaux, en France. Je suis restée pendant 2 ans, pendant que je faisais mon master. C’est là que j’ai rencontré mon amoureux et d’ailleurs, on a tous les deux fait une thèse (bon, je suis en train de finir la mienne, lui il a terminé et il est parti 9 mois à Istanbul), lui à Lyon, moi à Genève, depuis 5 ans.
Vivre à l’étranger est une expérience tellement enrichissante! Et je ne la changerai pour rien au monde. Mais je comprends quand tu dis que tu préfères vivre dans le même fuseau horaire que tes proches. J’aimerai pouvoir parler et rentrer plus souvent avec ma famille.
Je te souhaite une très belle continuation!
– Une lectrice d’habitude silencieuse 😉
j’ai adoré cet article. Je n’ai pas été expat (en tant qu’adulte car enfant si; car ma mère était expat !) et je ne pense pas l’être (je suis propriétaire à Paris donc partie pour rester !) mais j’aime bien en savoir plus sur mes blogueuses (alors qu’elle ne nous connaissent pas !) et découvrir cette expérience. Les cartes sont très chouettes en plus ! Et sinon je pars dans 3 semaines e vacances pour une semaine à New York et on fait un échange d’appart dans l’upper east side !! Alors je penserais à toi 🙂
Aaaah j’attendais cet article avec impatience!
Moi-même expatriée depuis trois ans en Argentine et en ayant vécu en Espagne, au Mexique et en Belgique (mais pour moins longtemps à chaque fois) je me retrouve dans tes mots.
Parfois la distance me pèse, l’Amérique latine c’est vraiment loin et les billets d’avion sont chers, mais je me rends compte à quel point vivre loin de mon pays m’a fait grandir et m’a ouvert l’esprit! Et j’ai réalisé que ce je croyais des évidences pendant des années étaient en réalité des faits culturels. On apprend beaucoup sur son pays en étant loin je trouve.
Alors même si parfois je me sens un peu “entre deux” (française en Argentine et presque argentine quand je vais en vacances en France) je me sens riche de la multitude de cultures avec lesquelles je suis en contact.
Etre étrangère dans un autre pays c’est un sentiment très particulier, tu as raison, et je me demande même si je rentrerai en France le jour oú j’aurais envie de me rapprocher de mes proches et d’aller en Europe…
Un aspect que tu as peu abordé est celui de la vie sociale… Arrives-tu à te faire des amis (ou du moins des copains/copines) à chaque fois?
Je trouve que c’est l’un des aspects qui pèse le plus, le côté “prendre un café avec une copine” qui n’est pas toujours évident quand on arrive quelque part et qu’on connait peu de personnes.
Après je me doute qu’avec un bébé les priorités sont changées et cela passe peut-être au second plan…
Youhouuuu un article fleuve!!!
La lecture a été forte agréable et au delà de “l’ouverture sur ta sphère privée” (privez donc…? Ahahah) et donc potentiellement la porte ouverte au voyeurisme etc que cela pourrait entraîner, je trouve que c’est toujours très intéressant de connaître les expériences de chacun, que ça soit perso, pro, le rapport à notre corps, grossesse, alimentation et j’en passe! Je trouve ce partage plutôt saint, voire même enrichissant pour tous! (Non?)
Donc go girl!
Alors moi je n’ai pas vraiment d’histoire d’expat’ à raconter, mais plutôt un choix de vie radical que nous avons fait ma moitié et moi-même depuis 6 ans: quitter Paris, acheter une caravane sur un coup de tête et finalement la poser (non sans encombres) entre champs, montagnes et forêts en Haute-Savoie (d’où je suis originaire) (d’ailleurs clin d’Å“il aux frontaliers que tu mentionnes! ahahah mes proches l’ayant presque toujours été) (bon, nous sommes suisses à la base hein)(bref!).
Donc nous voilà depuis cette poignée d’années, dans notre roulotte de l’amour comme j’aime l’appeler (sans eau courante), à avoir le temps de s’adonner à tout ce qu’on souhaite, à réfléchir, essayer de comprendre la vie, les gens, le pourquoi, voyager, à tout simple VIVRE! Le tout bien loin des clichés que beaucoup s’imaginent de nous (genre on vit comme dans le camp de gitans dans Snatch: des cassos dans une caravane délabrée, sur un terrain vague boueux avec des machines à laver désossées et des clebs chelous!).
Bon du coup on est sur le même fuseau horaire que ma famille mais plus du tout sur la même longueur d’onde…! Tant pis!
Voilà , ça me fait à moi aussi un peu bizarre de partager une bribe de ma vie “en public” (limite j’hésite à valider mon commentaire) mais c’est finalement fair-play pour toutes les fois où tu t’es ouverte à nous!
Merci pour tout, pour toutes ces années!
Bonjour
J’ai beaucoup aimé vous lire. Je sais que jamais je ne serai expatriée ( enfin on ne sais jamais) , je suis trop stressée et attachée au lieu ( déménager d’arrondissement dans Paris m’a déjà beaucoup angoissé!)
Alors vous lire c’est agréable, ça montre d’autres chemins de vie.
( ma curiosité se demande ce que vous faisiez comme travail en France. Peut être l’avez vous deja dit mais je vous suis depuis moins d’un an; ou peut être vous ne souhaitez pas en parler )
En tout cas vous êtes si naturelle malgré votre notoriété, j’aime beaucoup votre compte IG
Cecile
Bonsoir Pauline !
Je fais également partie de tes lectrices qui laissent un commentaire sur ton blog que trop rarement, mais cet article m’a vraiment touché.
Je reverais de partir en Australie, plus de 10 ans que je le dis mais je suis toujours dans ma campagne française , maintenant maman je me demande si on sautera le pas un jour…
Vous vous êtes donnés les moyens et ça me rend admirative!
Je pense aller faire un petit tour sur le site des cartes , on parlait il y a pas longtemps de trouver une affiche pour chaque ville où on a vécu! Je commencerai sûrement par trouver un plan de Lyon et plus particulièrement croix rousse car c’est là que notre histoire d’amour a commencé avec mon chéri !
Merci de t’être un peu livrée à nous avec ce joli article!
Bonne soirée
Très sympa ton article! J’ai fait 2 ans d’erasmus en Angleterre et en Espagne, 2 longs stages de master au Venezuela (où j’ai rencontré mon mari) et au Perou. Nous sommes restés 6 ans en Amérique du Sud, puis rentrés en France: nous avons vécu 3 ans à Paris et eu un bébé et nous sommes maintenant à Barcelone depuis 2 mois, à 3 également, avec une qualité de vie très agréable et beaucoup plus d’espace..!
Je les trouve super chouette ces articles plus persos. Moi qui suit très stories Instagram (oui, c’est moi la reloue qui mate les stories et qui a des fois la flemme de s’abonner aux comptes ou liker les photos – ne voulant pas que mes réseaux sociaux n’envahissent encore plus ma vie que maintenant), je vais systématiquement aller lire ton blog, ce qui m’arrive de plus en plus rarement avec les personnes que je suis.
C’est chouette de lire ton expérience d’expat. Ça permet de voyager à travers tes mots et d’imaginer ce que c’est :).
Moi qui est toujours voulu partir (pour ENFIN bien parler anglais) je n’ai jamais pris le temps de passer ce cap. Peut-être quand la cacahuète sera plus grande… mais maintenant qu’on a une maison cherie, j’ai du mal à nous imaginer vivre ailleurs.
Coucou Pauline,
Très intéressant cette article sur votre vie d’expat ! Ça donne envie de bouger aussi!
Ces articles où tu parles de ta vie perso sont rares c’est vrai mais il faut bien créer le désir non? Mais je suis certaine que tu es discrète par nature sur ce sujet et tant que les articles que tu écris te conrrepsondent et ne sont pas fait sous la contrainte, c’est le principale.
Merci pour le code promo Mapiful, je vais m’offrir la carte de ma ville d’adoption (Toulouse) et celle d’Amsterdam (j’y ai habité 3 mois, ça compte comme expatriation? )
Bonne soirée!
Coucou Pauline,
Je suis ravie de cet article et de cette lecture du soir, ça faisait super longtemps qu’un article comme ça me faisait envie !
J’ai commencé à te suivre très jeune, j’ai 22ans maintenant donc je devais avoir vers 13/14ans et j’étais tombée sur ton blog par hasard, qui depuis n’a pas décollé de ma barre de favoris !
Je pense que tu as participé à ma soif de voyage! Après un été au pair en Finlande et un Erasmus en Lituanie, j’attends avec impatience de candidater pour un master 2 à l’étranger !
Te suivre à chaque fois dans tes voyages et expatriations est un régal, et encore plus d’avoir ton retour sur ces expériences!
L’atmosphère Erasmus dont tu parles m’a rendue nostalgique, ou encore la sensation de commencer à zéro ou d’être entouré d’une langue inconnue (le lituanien a conservé ses mystères de mon côté )
En tout cas ces articles où tu parles un peu plus de toi sont une super idée !
Bonsoir Pauline, moi cela fait plus de 15 ans que je vit en Suisse. Alors c’est vrai que le sentiment d’expat n’est pas aussi présent que dans un pays qui ne parle pas le français mais je le ressent à chaque fois que je dois me rendre au consulat
Je suis arrivée à Lausanne pour une année et ne suis jamais repartie. Ça n’as pas été facile au début car les Suisses sont très méfiants, et après 5 ans mon réseau s’etait fait et je ne voulais plus repartir (au grand dam de ma mère…) Car j’avoue devoir tout reconstruire ailleurs de nouveau vu comme j’avais galérè, non merci… Mais je suis admirative de ceux qui le font tout les 4-5 ans!! Du coup, je voyage beaucoup et ai du plaisir à revenir dans mon petit cocon, je suis presque plus considérée comme française en Suisse et presque Suisse en France! Ceci étant je suis d’accord que l’on comprend plus sur son pays en le quittant!
En tout les cas merci de nous avoir livré ton expérience
J’adore tes articles et celui la est tres interessant ayant vecu une vie d expat aussi et la vivant maintenant a travers la famille (frere et soeur a l’etranger). Nous sommes a la frontiere suisse maintenant et certes les Francais sont moyennement vu mais j ai tjs du mal avec le “a cause des frontaliers” qu’utilisent les Suisses comme arguments. Ils profitent eux aussi des salaires Suisses et des produits et habitations bien moins cheres en France…… en tout cas Lausanne j ai adoré je m y verrais bien. As tu pu voyager un peu en Allemagne ? As tu des conseils ?
Super article ! On voyage 🙂
Coucou Pauline, merci pour ce bel article surtout pour 2 pays qui me tiennent à cœur et dont j y ai vécu ( USA et Allemagne à Mainz) , tu connais aussi mon parcours 😉
Je voulais te dire que je te rejoints sur la partie vision allemande de la maman qui travaille .. à temps plein oops c était le mot de trop pour être qualifié de Raben Mutter… même avec le poids des mots et les découragements qu’on peut entendre, l important est d’etre heureuse dans ses propres choix. Il y a toujours des solutions aux différentes situations ( négocier des journées de home office par exemple afin d‘eviter de réduire son temps de travail et être facilement plus disponible pour la famille, etc). Une chose que j‘apprecie énormément en Allemagne, le respect de l‘employeur envers son employé sur son temps de travail et sa vie privée. C est très appréciable de ne pas ressentir de pression ou stress . Bisous
Charlotte de Mayence
Bonjour Pauline,
C’est mon 1er commentaire en 8ans de suivi de ton blog mais la je devais te dire merci pour cet article ou je me retrouve plus que d’habitude car oui comme toi je suis expatriee depuis 10ans (NY, Londres et Singapour) vie de couple et puis construire sa famille a l’etranger avec des points de vue culturels si differents que oui ca peut chambouler une nouvelle maman, aussi une chose que tu n’abordes pas mais que tu dois ressentir apres plusieurs annees d’expatriation c’est souvent le decalage de notre vie un peu folle par rapport a nos amis restes en France qui n’ont pas autant bouge et qui ne comprennent pas tout ce que l’on peut vivre (pas de routine, challenge pro/perso a chaque nouveau pays, l’education des enfants dans un pays qui a des references differentes) c’est aussi une belle facon de renforcer son couple car moi a 10000km je n’ai que mon mari et ma fille pas de famille proche ou on rentre sur un coup de cafard/tete…bref il y a tellement de choses a dire sur la vie d’expat mais avec internet tout est quand meme plus facile qu’il y a 20/30ans!
Belle continuation
Bonjour Pauline (prénom de ma seconde ) je vous lis depuis La France … et c’est par l’intermediaire de votre maman Isabelle que j’ai decouvert votre blog … bravo pour votre travail !!! Et continuez de raconter votre périple j’adore (parfois cela me rappelle les voyages et les études de mes enfants erasmus, échanges universitaires etc …. ) mais je me dis « pourvu qu’ils restent en France plus tard !!! » .
Je vis à côté de LR ! Belle journée
C’est un très bel article! Et très vrai! J’en lirai d’autres avec grand plaisir!
Hello Pauline !
Je suis une suiveuse de l’ombre , qui lit qui like mais qui ne commenté jamais. Je te suis depuis ta victoire aux golden blog awards en 2009/2010. Je me rappelle j’avais mis le nez dans ton blog , j’avais tellement adore que j’avais lu tous les articles jusqu’au premier ! J’adore ce que tu partage avec nous , vraiment. J’adore te voir évoluer , construire une vie professionnelle qui te convient, une vie de couple et de famille qui te rend heureuse !
Personnellement, lire ton blog m’a permis de voir qu’il était possible de vivre de sa passion et cela m’a inspiré, donne un coup de pouce pour l’accrocher qd ce n’était pas facile.
Pour l’apprentissage du français pour ton fils, il existe des solutions auxquelles on ne pense pas souvent : le CNED. ( Je connais un peu car je travaille pour l’éducation nationale )
Tu peux choisir une matière ( par exemple le français) ou une formule spéciale famille expat qui permet de préparer le retour en France, avec les principales matières par exemple avec français maths histoire en primaire ( je crois que ça s’appelle scolarité internationale ).
Tu auras une série de devoirs écrits et audio à renvoyer en ligne en fonction du niveau choisi. Les devoirs sont corrigés par des profs de l’éducation nationale, et un seul prof te suit toute l’année , tu peux le contacter par téléphone ou par mail ..
Bonjour Pauline,
Merci pour ce super article perso. J’adore lire les expériences d’autres expatriés. Je suis en Australie depuis 2007, avec maintenant un mari australien et une petite fille. On bouge pas mal en Australie avec le boulot de mon mari, et je nous retrouve dans ton commentaire “Ce qui compte maintenant ce n’est pas où nous sommes, mais d’y être à 3.”. Le plus difficile, c’est la distance et surtout la vie sociale si différente ici. Rien ne se compare à ces amitiés de longue date avec mes ami/es français, du coup, je pense que je ne me sentirai jamais à 100% chez moi ici… Mais bon, ça a aussi des côtés super sympas, et le pays est tellement beau.
Très belle journée, Carole
Merci pour ton article qui nous permet à nous qui avons la bougeotte de voir ce que cela implique.
Je suis célibataire et je me dis toujours que je rêve de partir en expat en couple car je suis peu solitaire et mes amis sont un de mes moteurs au quotidien. Mais je me dis que de partir à deux permet de partir avec un peu de chez soi.
Cela devait être super romantique les premiers années de jeune mariée à NY!!!
Elle fait partie de ma liste de ville avec Los Angeles, Londres et Madrid.
Coucou Pauline !
Personnellement j’ai adoré cet article, et j’adore quand tu es un peu plus personnelle, ça me fait me sentir plus “proche” de toi, et c’est toujours agréable d’apprendre à connaitre quelqu’un qu’on suit depuis si longtemps (je te suis depuis environ 4-5 ans).
Le sujet de l’expatriation m’intéresse tout particulièrement, parce que j’ai choisi de m’expatrier moi aussi. Pour le moment, j’ai seulement passé 3 mois à NY, puis 1 an à Los Angeles (où je vis encore pour encore minimum 15 mois !), et j’ai vraiment du mal à me voir ré-intégrer la France… J’adore mon pays, mais je ne me vois pas pleinement épanouie en y habitant… La faute à mon amour pour les Etats-Unis, peut-être?
Des bisous !
La première fois que je laisse un commentaire et pourtant je te suis depuis très très très longtemps.
De notre côté nous sommes expat au Canada et nous partons pour les US l’année prochaine. Mon mari est chercheur comme le tient, et je crois que pour l’éducation de nos enfants on veut qu’ils puissent parler anglais couramment pour se rapprocher de l’europe dans quelques années (10/15 ans)
Le fait d’être loin de notre famille ne nous dérange pas, je trouve que c’est une chance énorme d’habiter à l’étranger que les opportunités ne manquent pas.
Par contre si nous revenons en Europe nous aimerions vivre dans le sud de l’Europe mais pour nous Paris (mon chercheur ne peut bosser que la bas) et bien c’est terminé, j’ai bouclé le livre et j’apprécie plus y venir en vacances.
Avec les conférences on rentre quand même régulièrement en Europe !
Bonne soirée
Bonjour Pauline,
Je crois que c’est le deuxième commentaire que je te laisse en six ans mais je devais te dire que j’ai adoré cet article, je trouve très intéressant de savoir comment se passe la vie d’expat. J’aurais adoré vivre une année ou deux à New York, une ville que j’adore mais je sais que je supporterai très mal le fait de vivre loin de ma famille #contradiction : ) En tout cas continue de partager avec nous ce type d’articles, je trouve ça vraiment sympa.
Bises
Bonjour, j’ai bien aimé l’article mais comment ose-tu t’être sentie jugée alors que toi même tu écris ceci: ” c’est juste que la vie de maman au foyer à l’allemande, qui sacrifie sa carrière pour sa famille (ce qui n’est, je pense, positif pour personne), c’est vraiment pas pour moi, ça me parait même d’un autre temps…”
En quoi choisir d’élever son enfant par soi-même n’est-il pas positif? En quoi est-ce d’un “autre temps”?
On ne fait pas des enfants pour les faire élever par des inconnus… Et si tu ne veux pas être jugée, commence par en faire de même…
Je pense que je ne serais pas publiée et n’aurais pas de réponse mais au moins, ce sera lu.
Bonjour Pauline,
Pour info tous les commentaires sont lus mais aussi publiés, on n’est pas en dictature ici et je supporte très bien la contradiction qui ouvre sur des dialogues constructifs.
Pas la peine donc de me faire un procès d’intention sur le fait que je vais ou ne vais pas valider un commentaire qui me contredit 😉
Concernant ce que tu dis, tu noteras que j’ai bien dit “moi je moi je” JE pense, Ce n’est pas pour MOI, ça ME parait. Cette phrase n’avait donc pas le but de juger quiconque, chacun fait comme il veut, c’est juste que ce schéma allemand ne ME correspond pas à MOI.
Jamais je n’irais dire à quelqu’un que la manière dont il choisit de s’occuper n’est pas la bonne. Alors que quand une voisine me dit “c’est pas bien de partir travailler 2 jours à paris quand on a un enfant”, elle me juge directement, elle se mêle de ce qui ne la regarde pas.
Voilà pour quoi j’ai “osé” me sentir jugée.
Voilà pourquoi dans mon discours en revanche, je ne juge personne.
Rien n’est universel, tout est personnel.
Et puis faut pas non plus sortir la phrase de son contexte, je grossis le trait car je parle d’expatriation et de choc culturel, toutes les allemandes ne font pas ce choix, de même qu’en France, tout le monde ne choisit pas de continuer à travailler.
Et pour rebondir sur ta phrase : “On ne fait pas des enfants pour les faire élever par des inconnus…” on fait ce qu’on veut en fait, si je peux me permettre.
Et aussi ce qu’on peut. Faut avoir un mari avec un sacré salaire pour faire le choix de ne pas continuer à contribuer financièrement aux charges du foyer. Pour certaines personnes, c’est une nécessité et pas seulement un choix que de ne pas vouloir se conformer à un schéma classique patriarcal.
Ah, et c’est bien nous qui élevons notre enfant. La crèche c’est un mode de garde, pour quelques heures en journée, ils sont en charge de GARDER mon fils, pas de l’élever ou de l’éduquer.
J’espère que tu viendras lire ma réponse malgré le fait que tu pensais que tu allais être injustement censurée.
Tous les avis sont permis, et encore une fois, je raconte MA vie, MES choix, ça ne fait pas de moi quelqu’un d’intolérant envers les choix des autres. J’ai moi même été élevée par une maman au foyer !
Merci de m’avoirlu et publiée, en revanche les deux questions que j’ai posées n’ont pas reçu de réponses … (En quoi choisir d’élever son enfant par soi-même n’est-il pas positif? En quoi est-ce d’un « autre temps »?)
“Faut avoir un mari avec un sacré salaire pour faire le choix de ne pas continuer à contribuer financièrement aux charges du foyer.”…. La question est de savoir où l’on place nos priorités de vie c’est-à -dire privilégier les économies pour faire un ou deux supers voyages sur l’année et s’occuper soit même de son enfant OU partir en week-end de luxe toutes les deux semaines seule….
Je pense que tu as subtilement éviter de répondre à mes deux questions car tu n’avais aucune explication…Toujours est-il que quand TU dis que TU penses et TU as TON propre jugement sur une situation et que tu dis “moi je moi je”, sache que les autres aussi peuvent avoir LEUR propre façon de pensée …
oulalala on touche un point sensible on dirait !
Ma réponse point par point :
J’ai écrit : “c’est juste que la vie de maman au foyer à l’allemande, qui sacrifie sa carrière pour sa famille (ce qui n’est, je pense, positif pour personne), c’est vraiment pas pour moi, ça me parait même d’un autre temps…”
=> ce qui n’est pas positif, ce n’est pas d'”élever son enfant soi-même” (sachant que je le répète, la crèche c’est un mode de garde, ça n’a pas de fonctionnalité éducative per se, j’ai beau laisser mon enfant à la crèche, nous l’élevons nous, son papa et moi, eux ils le gardent, c’est pas pareil). tu ne peux pas déformer mes propos pour en faire une question et t’étonner après que je n’y réponde pas 😉
Je n’ai jamais dit que ce n’était pas positif d’élever son enfant soi-même, j’ai dit que pour moi, ce n’était pas positif de faire comme nombre d’allemandes = de SACRIFIER SA CARRIERE. Il faut vivre un peu pour soi aussi, même quand on est maman, je crois que c’est important, en tout cas ça l’est pour moi.
Après si l’arrêt du travail ne représente pas un sacrifice alors pourquoi s’en priver ? Je ne vois rien de négatif dans le fait d’arrêter de travailler, ce que je trouve pas très positif, c’est l’aspect sacrificiel. Je veux dire que des sacrifices, on en fait déjà des tonnes en tant que maman. Pour moi, mon épanouissement professionnel ne devait pas s’ajouter à cette liste. Voilà . C’est tout, rien de compliqué.
Ma réponse à cette première question te satisfait-elle ?
Ensuite, tu me demandais “en quoi c’était pour moi d’un autre temps ?”
Pour le coup mea culpa, c’est vrai qu’en me relisant je me rends compte que c’est pas clair. Ce que je voulais dire, ce que je considère en effet comme dépassé, c’est le fait que ce soit toujours la MAMAN qu’on fait culpabiliser de bosser alors qu’elle a des enfants. Les enfants, on les fait à 2 non ? Pourquoi est-ce que les papas aux foyers sont si rares ? Pourquoi est-ce que ça parait naturel dans les familles allemandes que les femmes soient celles qui laissent leur carrière en plan, quasi-systématiquement. Pourquoi on parle ici de “mère corbeau” pour les femmes qui travaillent alors que, jamais jamais jamais on a affublé un père d’un quelconque nom d’oiseau ?
voilà le raisonnement que je trouve complètement d’un autre temps.
Voilà , je n’avais pas répondu à tes questions car je sentais une pointe d’agressivité dans le ton de ton commentaire. Je crois que je ne me suis pas trompée quand je lis la suite de cette réponse.
Donc au risque de te décevoir, des explications j’en ai. Et ce sont des sujets sur lesquels je pourrais d’ailleurs m’entretenir des heures, si tant est que j’ai en face de moi quelqu’un qui choisit le débat plutôt que l’attaque.
Parce que quand tu dis “La question est de savoir où l’on place nos priorités de vie c’est-à -dire privilégier les économies pour faire un ou deux supers voyages sur l’année et s’occuper soit même de son enfant OU partir en week-end de luxe toutes les deux semaines seule….“, je suis sur le derrière :
– première chose : au cas où, si tu me visais dans le “partir en week-end de luxe toutes les deux semaines toute seule”, tu te fourres le doigt dans l’oeil ! Mes “week-ends de luxe” sont toujours à 3 en famille (et me permettent de joindre l’utile à l’agréable puisqu’il s’agit de séjours professionnels en général), je ne pars quasiment jamais toute seule le week-end, depuis que mon fils est né, j’ai été absente 2 week-ends (en plus de deux ans), sinon c’était toujours en semaine. Et pour le coup, rien à voir avec un quelconque choix de vie ou de priorités budgétaires puisque ces week-ends n’ont rien à voir avec le budget du foyer.
– deuxième chose : dans quel monde vis-tu ? Tu parles de devoir faire le choix entre partir en week-end souvent ou partir en “super voyage” deux fois dans l’année ? Mais tu es déconnectée de la réalité chère Pauline ! On parle de renoncer à un deuxième salaire, pas d’être privé d’argent de poche ou de vacances ! La très grande majorité des couples que je connais ont besoin de deux salaires pour payer le loyer et les factures, les plus chanceux pour rembourser leur emprunt immobilier.
Crois-tu vraiment que la plupart des mamans travaillent seulement par luxe / envie et jamais au moins un peu par nécessité ?
Et pour finir sur ta dernière phrase : “sache que les autres aussi peuvent avoir LEUR propre façon de pensée …“, je me contenterai de te demander d’aller relire ma première réponse. Je crois y avoir suffisamment explicité que j’étais d’accord avec ça.
J’adore ces longs articles. Quel plaisir de te lire !
Je suis moi aussi expat car je vis depuis 10 ans en Suisse.
C’est vrai que c’est parfois dur la Suisse au premier abord mais une fois vraiment installer les amis de l’apéro deviennent des amis à la vie/à la mort. On dit que ça se mérite mais après que du bonheur.
Le fait que la langue soit presque la même rend l’expatriation moins difficile mais je sens de plus en plus la différence culturelle par rapport à la France, surtout depuis la naissance de mes enfants.
Pour le coup je ne pense que je reviendrai un jour en France.. mais pourquoi pas un autre pays? Quitter mon confort de vie, exceptionnel ici, et mes amis me fait peur tout de même.
Merci d’avoir partagé ton expérience d’expatrié dans cet article parce que même si pour le moment la question ne se pause pas pour le moment, l’idée de partir vivre quelques temps hors de France ce fait de plus en plus présente.
Ton article est super! Avoir lié une collaboration avec un sujet perso et vrai, c’est une sacrée réussite !
J’ai vécu 2 ans à Tunis avec mon conjoint. La vie d’expat là bas est assez particulière, entre ceux qui se prennent pour des rois et ceux qui jouent le jeu et profitent à fond de ce joli pays. L’expatriation c’est vivre à fond un pays et en profiter sans regret de se dire “j’ai pas tout vu”. Pour certaines destinations c’est aussi l’occasion de se dire que chez nous on est bien aussi et qu’on a de la chance ! Je tenterai bien une nouvelle destination, mais on ose moins maintenant qu’on a aussi un petit loup
Continue à nous faire voyager
Salut Pauline! Et qu’est-ce que tu penses du look de la mère allemande? J’ai passé 9 ans à Dubaì avant de revenir avec 2 enfants pour m’installer à Hanovre et comment dire…ce n’est pas l’enfer de la mode ici, et surtout pas dans les crèches/jardins d’enfants
Je suis toujours aussi régulièrement ton blog et je suis plutôt curieuse, donc ce genre d’articles, je suis pour, ça change 🙂 Et puis c’est toujours intéressant de lire le point de vue d’autres personnes. Moi j’avoue qu’être expatriée, ça serait beaucoup trop d’inconnus… Après, il ne faut jamais dire jamais !
j’ai adoré ce post, long et sans photo. comme quoi ! j’aime ta manière de présenter l’expatriation, sous l’angle de la vie quotidienne et du ressenti. merci de nous avoir dévoilé ce pan de ta vie privée ; je mesure la confiance que tu nous fait (surtout quand je vois le commentaire de P.). tu sais tirer le meilleur de chaque expérience et c’est ça que j’aime chez toi, depuis le jour où j’ai découvert ton blog, quand tu évoquais les questionnements relatifs à la grossesse.
J’aime beaucoup ces trois cartes, je trouve qu’elles ne ressemblent pas aux cartes que l’on a l’habitude de voir.
Bises
Justine
http://lemagdejustine.com
Justement, cet article, différent, plus personnel mais sans étalage, je l’ai trouvé particulièrement intéressant !
Hello Pauline,
Je comprends tellement cette bougeotte et cette joie éprouvée de vivre à l’étranger. Sur mes 21 petites années de vie j’en ai vécu 12 à l’étranger : 7 à Bruxelles, 4 à Madrid et je suis sur la fin d’une année à Helsinki (en Erasmus). C’est un sentiment merveilleux que de pouvoir être imergée dans d’autres cultures. Je suis si reconnaissante que mes parents aient eu cette opportunité et que nous l’ayons partagée tous ensemble. Plus tard, du coup, comme toi, je me vois bien habiter dans plein de villes différentes (dans la mesure possible évidemment ahha), parce que me cantonner à la France, malgré tout l’amour que je porte à ce pays, me semble maintenant ennuyant.
Merci pour ce partage en tout cas . Cela fait un bon nombre d’années que je te lis, et c’est toujours un plaisir ! 🙂 Tu restes une de mes lectures préférées dans cette blogosphère grandissante.
Je te souhaite une belle journée,
Marie
Bonjour Pauline,
Cela fait des années que je te lis. Je fais partie des lectrices assidues mais silencieuses. Je profite de cet article sur l’expatriation pour te laisser mon premier commentaire. Nous vivons aux États-Unis depuis 9 ans. Boston quelques mois, San Diego pendant 2, 5 ans et maintenant la banlieue de Miami depuis 6 ans. Je me retrouve beaucoup dans tes propos, surtout en ce qui concerne l’expatriation et les enfants. Notre fille a quelques jours de plus que ton fils et il est vrai que nous vivons l’expatriation de l’autre côté de l’Atlantique différemment depuis sa naissance. Plein de questions ont surgi (le port d’armes, l’éducation, la santé, le bilinguisme, l’enseignement du français, etc.) et nous commençons doucement à y trouver des réponses. Tout ça pour dire que j’adore autant les articles de mode et voyage que ceux où tu parles plus de ta vie perso ! Tu as une très jolie plume et j’attends avec impatience chaque nouvel article.
Bonne continuation !
c’est vrai que c’était un super article, surtout le passage sur la vie en l’Allemagne, qui parait moins sexy quà NYC mais finalement tout aussi intéressante que dans d’autres villes ! mais dis-moi comment as-tu fait pour trier tout ton dressing au gré des déménagements ?? ;0)
Bonjour Pauline,
Merci pour ce bel article bien écrit. C’est un sujet qui me parle.
J’ai découvert ton blog il y a environ 5 ans quand j’étais étudiante à Vancouver. J’ai adore mes deux années de vie là bas, une vie qui donne toujours l’impression de partir à l’aventure, les week-ends au ski, les randos, la ville à découvrir.
Ce qui est difficile cest d’arriver à trouver un équilibre avec sa vie en France. Parfois en étant un peu à deux endroits à la fois j’avais aussi l’impression d’être un peu nulle part, de pas nouer des liens tres profonds dans ma nouvelle vie et de perdre un peu le contact avec la France.
Mais de retour en France (Ã Paris), ce plaisir d’expatriation me manque un peu parfois.
Je t’ai lu de plein d’endroits avec plaisir (même depuis la Bolivie pdt 3 mois) et ces réflexions sur l’expatriation (et le temps qui passe, un peu :p), ca me rappelle que je viens par ici depuis un moment.
Je viens de commencer mon premier vrai taff, pour lequel je vais avoir l’occasion aller à NY (pour la première fois). Je ne manquerais pas de refaire un tour sur tes articles New yorkais 😉
A bientôt !
Bonjour Pauline,
Après deux Erasmus je comprends totalement ce sentiment unique qu’on vit lorsqu’on est expatrié ! Et pour le coup j’ai bien envie de me commander une carte en l’honneur d’Oslo !
Du coup j’ai une petite question : de quelle taille sont tes cartes ? 30 x 40 ou 50x 70 ?
Merci beaucoup 🙂
Il est chou cet article, ça donne envie de partir ! Moi je suis curieuse alors j’aime bien en savoir plus sur toi, du coup si c’est dans les limites que tu t’accordes, j’aime beaucoup ce genre d’articles !
Bonjour Pauline,
J’ai trouvé cet article très chouette et je l’ai lu d’un trait ! Merci d’avoir partagé ton expérience. Mais ce qui m’a surtout étonné c’est de réaliser que ça doit bien faire huit ans que je lis tes articles… J’étais encore au lycée !
Pour revenir à ton article, je l’ai trouvé très motivant. J’ai vécu quelques mois en Virginie pendant mes études, puis un peu en Angleterre, mais j’ai du rentrer au bout de deux mois au lieu d’un an à cause d’un événement familial. Alors depuis j’ai une sorte de frustration de l’expatriation, et en effet, même si j’économise chaque année pour faire un beau voyage, ça n’est pas la même chose. Avec mon conjoint nous nous préparons pour partir un an au Canada et lire ton article me conforte vraiment dans cette décision, alors merci ! D’autant qu’étant une compiègnoise qui a fait ses études à Lille, je m’identifie un peu à ton parcours 🙂 (J’avais été étonnée et amusée de voir ton faire-part de mariage sur le frigo d’une de mes amies).
Très bonne fin de journée à toi,
Joséphine
Hello !
Génial cet article ! C’est hyper intéressant de lire “l’histoire” derrière tous ces changements de lieu de vie. J’avoue que j’avais été assez étonnée du passage de New York à Lausanne… puis l’Allemagne ! Même si je me doutais un peu que ça avait à voir avec la carrière de Romain.
Je me posais aussi la question de la langue : tout le monde ne parle pas Allemand, et ça me parait une langue difficile, je me demandais comment vous vous en sortiez (pas que je doute de votre capacité à vous adapter, mais juste je me dis que ça doit pas être si évident que ça).
Du coup Mini L. apprend le français et l’allemand? Peut être l’anglais aussi? (je suis quasi-bilingue en espagnol, et je rêve de pouvoir apprendre cette langue à mes enfants quand j’en aurai, mais je me demande si c’est pas bizarre dans la mesure ou mes racines espagnole remontent à ma grand-mère et que du coup en fait j’ai pas vraiment de légitimité à faire ça). Et toi alors? Combien de langues parles-tu finalement?
Ohlala désolée pour toutes ces questions, mais je trouve le sujet passionnant en fait ! Il nous faudrait un café pour pouvoir aborder tout ça AHAH !!
Bonne journée!
PS: un vieil adage dans la famille “élèves tes enfants comme tu peux, peut être qu’il te le pardonneront” -> chacun fait de son mieux, tu n’as de compte à rendre à personne ! (et ne vas surtout pas voir une critique dans cette citation!!!)
Bonjour Pauline,
Juste un petit coucou après avoir lu ton article (oui oui j’ai tellement de retard !) pour te remercier d’avoir partagé tes impressions avec nous.
Toujours eu peur de quitter mon quotidien alors c’est super d’avoir ta vision!
Merci!