Voilà, c’est fini.
Ça fait quelques semaines que je sentais qu’on arrivait au bout, mais j’avais du mal à m’y résoudre.
J’ai tellement adoré ces câlins-tétées et je sais que ça va terriblement me manquer.
Rien que d’écrire ces lignes, j’ai du mal à ne pas pleurer. Un mélange de bonheur, de nostalgie, de tristesse relative, de rappel du temps qui passe trop vite.
Et puis peut-être aussi que la chute hormonale post-allaitement ne m’aide pas à retenir mes larmes.
C’est marrant car quand je suis tombée enceinte la première fois, j’ai tout de suite exprimé l’envie d’allaiter ou du … LIRE LA SUITE