Il y a des articles plus difficiles à écrire que d’autres, et celui d’aujourd’hui en fait partie. Pourquoi « difficile » ? Car il n’est pas tâche aisée que de retranscrire avec authenticité à l’aide de mots et de photos la perfection de ce petit séjour en Provence, à la découverte des inspirations de l’eau de parfum Terre de Lumière de L’Occitane.

Mais commençons par le commencement. Quand j’ai reçu l’invitation à ce joli voyage de presse, je n’ai pas hésité une seconde à la vue du programme : vol en montgolfière, balade en deudeuche et atelier olfactif, autant dire qu’une seule de ces trois activités aurait suffit à me convaincre. J’avais adoré mon double baptême en montgolfière en Australie il y a 2 ans et demi (d’ailleurs, quelle honte, je n’ai jamais publié les photos…), les balades en deudeuche me rappellent un ami du lycée (coucou Jean !) et je suis fan des ateliers olfactifs (je garde un merveilleux souvenir des quatres autres auxquels j’ai participé). Et puis je ne m’étais jamais intéressée plus que ça à la marque L’Occitane auparavant, donc c’était l’occasion ou jamais d’en savoir plus et de satisfaire ma nature curieuse.

Je me doutais bien que j’allais passer d’excellents moments, mais j’étais à mille lieues de m’imaginer à quel point ce séjour parfait en tous points allait me laisser des jolis souvenirs et me faire découvrir l’essence d’une marque dont je ne soupçonnais pas l’authenticité, l’humanité et l’engagement.

Le but de ce voyage était donc de découvrir toutes les facettes de la toute nouvelle eau de parfum L’Occitane, poétiquement baptisée « Terre de Lumière » et inspirée par l’heure dorée, la « Golden Hour » si prisée des photographes, ce moment éphémère du coucher ou du lever du soleil, où la lumière devient si magique qu’elle habille ce qu’elle effleure d’une douce couleur dorée. C’est cette heure dorée et sa beauté sur les paysages de Provence que L’Occitane a retranscrit en parfum, créant ainsi le tout premier « Gourmand Aromatique » à base de bergamote, de graines d’ambrettes, de baies roses et de miel de lavande. Les fleurs d’acacia, les amandes amères, la fève tonka et les muscs blancs complètent la composition.

Notre séjour était donc organisé autour de ces inspirations.

Notre point de chute n’était autre que le merveilleux Relais & Châteaux Le Couvent des Minimes, un Hôtel***** & Spa L’Occitane, qui m’a énormément plu : déco fabuleuse (beaucoup de jolis carrelages qui rendent les « Selfeet » indispensables, une magnifique Junior Suite avec grande terrasse, bain japonais (= baignoire de la taille d’une piscine dans la chambre) et placard en grillage à tomber), cloître de 1862 couvert et transformé en vaste lobby sous une voute en poutres qui paraît avoir toujours été là, restaurant fameux (meilleures saucisses purée de toute ma vie et vacherin poire-citron-lavande à tomber !), piscines extérieure et intérieures chauffées à 27° : un havre de paix au luxe discret et raffiné dans lequel il doit faire bon se prélasser quelques jours pour recharger les batteries.

Mais nous n’étions pas là pour nous reposer ! Lever du soleil en montgolfière (lever à 5h15 !), balades à la découverte de Forcalquier et de Roussillon, deux adorables petits villages très différents, visite d’une lustrerie unique au monde (ça mériterait presque un article à part entière tant le lustrier Régis Mathieu est intéressant lorsqu’il raconte sa passion pour les luminaires, qu’ils soient ses propres créations contemporaines à la pointe de la modernité ou des exercices de restauration du patrimoine avec les lustres de Versailles ou du Palais de l’Elysée par exemple. Si vous vous avez l’occasion d’être dans le coin de Gargas, je vous encourage à visiter ce showroom-musée), dîner dans une jolie bastide et déjeuner à la Villa Saint Marc orchestrés par Le Potager Moderne, un traiteur qui a ravi nos papilles avec des mets fins et gourmands (il aurait fallu voir nos têtes lorsque nous avons goûté le gaspacho, et plus tard les guimauves maison à la lavande !), atelier olfactif autour de la sensorialité des odeurs et des accords qui composent Terre de Lumière, mais aussi et surtout moments d’échanges privilégiés avec Olivier Baussan, le fondateur de L’Occitane qui nous a raconté sa volonté farfelue de vouloir traduire cette heure dorée et sa lumière en Provence sous la forme d’un parfum dont les ingrédients rendraient hommage à sa terre natale, mais aussi les anecdotes incroyables à l’origine de sa crème au karité dans les années 1980. Une rencontre très enrichissante avec un homme aussi passionnant que passionné !

Je suis revenue de ce séjour express avec des paillettes dorées plein les yeux, après avoir découvert un parfum original et ses belles inspirations mais aussi l’humanité d’une marque dont je ne soupçonnais pas la beauté intérieure, si je puis m’exprimer ainsi. Je me suis vraiment sentie sotte d’ignorer les engagements éthiques de la marque (tout est là pourtant ! il suffit de se balader ici sur le site pour mesurer la poésie de cette belle histoire !).

J’espère avoir capté en photo un peu de la magie de ce séjour. J’ai pris un plaisir fou à prolonger cette parenthèse provençale en travaillant depuis mon retour sur mes 1300 et quelques images…! Je vous livre donc ici une sélection de mes photos, 88 pour être exacte (j’ai eu du mal à en mettre moins…), agrémentées de 8 jolis clichés (5 de notre montgolfière dans les airs et 3 de moi) réalisés un très gentil et talentueux photographe de mariage réquisitionné pour l’événement, Loïc LEGROS.

Retrouvez l’eau de parfum et toute la gamme Terre de Lumière ici !

Merci à Stéphanie, Fatou et Hélène qui ont été de merveilleuses comparses de voyage, c’était un plaisir de partager ces moments avec trois femmes si chouettes !

Merci à L’Occitane, notamment Marthe et Carine de l’équipe parisienne, Fleur qui nous a présenté tout le travail autour du parfum, de ses inspirations, de la création du jus, de son nom et de sa campagne publicitaire, et last but not least à Patricia et son équipe locale, qui ont organisé ce voyage si parfait !

Merci à Olivier Baussan, le fondateur de L’Occitane, d’avoir pris du temps pour nous accompagner sur les traces de ce parfum, avec une simplicité et une gentillesse authentiques et rafraîchissantes.

♦ Crédits Photo : PAULINE PRIVEZ sauf 5-8-9-24-52-56-77-95 : LOÏC LEGROS

Sur ces photos, vous pouvez apercevoir :